oui biensur je n'ai pas dit qu'il fallait mettre des essences adaptée parfaitement au climat
mais les pièces maîtresse, le squelette du jardin doit être un minimum adapté aux conditions climatiques même extrêmes.
Contrairement à ce que l'on pense ce ne sont pas forcement des végétaux locaux ou communs.
(en meme temps triste aussi un jardin avec uniquement des tropicale en plein hiver quand tout est mort ou sous voile d'hivernage et paillage. )
concernant les végétaux ça fonctionne comme la mode, les classiques, indémodable.
les nouveauté saisonnière ou de l'année.
le tout orchestré par val'hor, les marchés de raingis et les hollandais.
après chaque producteur (et pas pépiniériste) est à même de proposer et développer des végétaux originaux.
et comme le dit jeff les clients sont aussi fautif, et c'est au paysagiste de vendre sa composition.
sinon la pluspart veulent du classique, du déjà vu
on leur excuse, ce n'est pas leur métier de connaitre le monde du végétale et d'offrir solutions et alternative.
mais si on les écoutait il faudrait le plus magnifique des jardin sans aucun entretient ni arrosage.
dur de trouver le just milieu entre un jardin praticable par un amateur.
et un biotope qui demande 2jours de travail par semaine.
on est passionné ou pas.
j'en ai vu faire crever un cactus.
dans le 66 jeff on a pas ce problème de cahier des charges ou moins contraignant.
on trouve des essences intéressantes et chaque village est assez libre.
en même temps jamais ils auraient planté la cote avec du phoenix s'ils pensait à la sécurité des gens.
l'herbe aux poignard.
même expérimenté et prudent j'en porte les cicatrices de mes deux jours de taille.
ou des rond point entièrement aménagé en cactés.
et j'ai moi même répondu à des appel d'offre, avec beaucoup de liberté
Par contre il est indispensable pour tout paysagiste de prendre ces responsabilités et d’éviter les espèces potentiellement invasives.
pour en revenir au sujet principale ou presque.